
Après les déclinaisons 3 portes, Cabriolet, Clubman, Countryman et Coupé, Mini dévoile la version décapsulée de cette dernière, le Roadster. Comme le Coupé, cette sixième version de la Mini n'a que deux sièges.
Sous le capot, la firme anglo-germanique a implanté uniquement les motorisations les plus puissantes. Nous retrouvons donc le 1.6 atmo de 122 chevaux (Cooper) et le 1.6 THP en 184 chevaux (Cooper S) et 211 chevaux (John Cooper Works). On notera également le 2.0 turbo diesel de 143 équidés de la déclinaison Cooper SD.
Les performances sont identiques à celles de la Mini 3 portes. La Cooper abat donc le 0 à 100 km/h en 9"2, la Cooper S en 7"0, la JCW en 6"5 et la Cooper SD en 8"1. Les vitesses maximales respectives sont de 199 km/h, 227 km/h, 237 km/h et 212 km/h (légèrement inférieures à celles de la Mini 3 portes).


Par rapport à l'autre découvrable de la gamme, la Mini Cabriolet, le Roadster est 11 mm plus long, 24 mm moins haut et aussi large (3,734 x 1,683 x 1,39 m). Pour justifier l'existence par rapport au cab, Mini explique que son nouveau né est axé sur le plaisir de conduite et doit offrir des sensations proches d'un karting. En somme, le même discours que lors de la sortie du Coupé. A l'instar de ce dernier, on retrouve l'aileron qui se déploie à partir de 80 km/h.
Comme sur la Mini Cabriolet, le Roadster reçoit une capote souple. Celle-ci se manipule manuellement, de manière simple et rapide selon la marque.
Aucun prix ni date de sortie n'ont été communiqués.


